La plume prêtée au chat
Absence
Le ciel est vide... Un oiseau passe
La vie s’égrène lentement
L’espoir frémit sans trop y croire
Le corps lourd d’attendre, pesant
Le regard fixe le ciel vide
La gorge serrée, fréquemment
L’arbre bouge comme un pendule
Il pleut dans mes yeux, maintenant.
Ce poème a paru dans l'Anthologie poétique de Flammes Vives 2009, Volume 3.
Il fait partie du recueil La plume prêtée au chat, Éditions Nouvelle Pléiade, 2010.
@ Brigitte Pellat 2009